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suivre ce blog administration connexion + créer mon blog les fleurs sauvages ne meurent jamais... les crues d'écrits 2012, 20ans d'écrits.... je ne suis personne blog : 25 années d'écriture damien verhee description : 3è blog pour ma part sur over. originaire du nord j'écris depuis "toujours" pourrait on dire. chansons, textes, poésies etc..... contact mardi 09/11/2010 pour tous renseignements pour utiliser en musique un texte présent sur ces pages, contactez moi damien v. 06 50 83 87 89 recherche recherche vous avez loupe juillet 2018 (1) décembre 2017 (1) janvier 2017 (1) mes dernieres gouttes d'encre insomnie quand je ne serai plus la j'ai pas l'temps un code barre du papier et des crayons l'indifférence hamed benazi la solitude entourée a ton nom depuis que t'es parti pages toussent les saints c'est range ici! poesies sncf (440) carnet de vie (58) mes chansons (47) roman (33) billet d'humeur (26) jeu poetique et musicaux (20) des blogs formidables (5) ce que j'ecoute (4) ce que je lis (1) les crues d'écrits (1) abonnez -vous! abonnez-vous pour être averti des nouveaux articles publiés. email mes blogpotes crystal dine raissa martine satine feline corinne paloma enriqueta nadine créer un blog gratuit sur overblog.com 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 30 40 50 60 > >> 6 juillet 2018 5 06 / 07 / juillet / 2018 11:06 insomnie quand les jours sont tous pareils, quand les nuits n'ont plus de sommeil, quand les gens deviennent étrangers quand je ne sens plus l'air entrer que les nuits sont longues comme la mort que l'on ne voit plus comment on s'en sort ; quand monte la pression, noires l'écoute des chansons, quand tout brûle autour de moi, quand le doute est partout à la fois, et les journées monotones, quand en toutes saisons c'est l'automne, que plus rien n'a de sens, que plus rien n'a de saveur, et qu'il semble qu'il soit l'heure..... quand on ne voit plus d'issue possible quand le repos est impossible, quand les pensées vous harcèlent quand vous marchez sur la ficelle et qu'elle menace de céder, il est l'heure de se poser. quand les perspectives sont floues, quand ne tourne plus la roue, quand la boule au ventre déchire comme du papier les intestins, quand on est plus capable de rire quand tout semble commun, quand on est plus capable de réfléchir quand on a plus que l'envie de partir, et que l'on se sent proche d'une fin... et que l'on ne voit plus le chemin, alors,... alors, je prépare la sortie, le feu d'artifice grandiose qui fera taire les bruits et cesser l'insomnie, comme le plus grand des virtuose. (c) les fleurs sauvages 2018, shlp repost 0 published by verhee damien - dans poesies sncf commenter cet article 26 décembre 2017 2 26 / 12 / décembre / 2017 17:02 quand je ne serai plus la #quand je ne serai plus là, est-ce que tu m'oublieras? que garderas-tu de moi, dans tes souvenirs d'autrefois? *est-ce que ce sont des échanges au tennis, ou de mon enfance quelques cicatrices? quelques images d'un étudiant, a l'université, il y a si longtemps? *est-ce que tu reverras quelques clichés, de mes paternités dans les maternités? est-ce que ce sont mes quatre jolies filles, que je lègue à l'avenir, comme un soleil qui brille? *comment jugeras-tu mon parcours, de ces années commerce ou au fond d'un cours? de toutes ces régions que j'aurais traversé, quelles sont les images que tu vas garder? #quand je ne serai plus là, quand l'éternel hiver m'emportera, fais moi vivre dans tes pensées, surtout n'oublie pas combien je t'aimais! *est-ce que tu me verras "manager", ou lors des karaokés chanter des heures? une émotion à l'écoute d'une chanson, ou de quelques mots couchés sur un vieux brouillon? *quelques briques rouges, et la chaleur du nord, quelques mots d'amour sur un banc au dehors? et des milliers de routes pour brouiller le décor, ou par mes larmes et mes doutes, s'envolaient mes remords? *n'oublie pas quand tu fermes les yeux, mes caresses sur tes petites mains, nos promenades le long des chemins, chasses ces larmes qui noircissent le bleu... #quand je ne serai plus là, tu vivras longtemps mon amour, et que survivent en toi, quelques bouts de moi, pour toujours.... (c) damien verhée, 2017, la rochelle, les fleurs sauvages ne meurent jamais..... repost 0 published by verhee d - dans mes chansons commenter cet article 24 janvier 2017 2 24 / 01 / janvier / 2017 15:21 j'ai pas l'temps de mourir pour un actionnaire qui finira sans doute millionnaire de subir autant la pression des cons de vivre sous les contraintes, les manipulations de supporter la bêtise humaine d'être pris en étau entre amour et haine. j'ai pas l'temps le compte à rebours prend fin le sable coule vite, il est si fin j'ai pas l'temps. pour étouffer tous mes cris la nuit, pour me laisser écouter un jour mes envies, pour les entendre se plaindre et râler pour courir après ceux qui m'ont volé pour les laisser m'humilier pour les laisser me juger. j'ai pas l'temps le compte à rebours prend fin, le sable coule, il est si fin j'ai pas l'temps. j'ai pas l'temps... repost 0 published by verhee d commenter cet article 22 décembre 2016 4 22 / 12 / décembre / 2016 13:10 un code barre des traces insistantes et noires comme des coulées de maquillage comme le plus profond des cafards, comme un ciel triste et gris d'orage, comme les barreaux d'une cage, des traces profondes et noires, comme tatoué d'un code barre, comme un ausweis pour un passage, lorsqu'on est plus vraiment humain, mais un simple maillon de la chaîne, lorsque pour les autres, on est plus rien et qu'on éprouve rien d'autre que la haine. comme une averse d'encre noire les petits bâtons comptent les points, ils encodent les moments assassins quand dans l'humain on pouvait croire, mais aujourd'hui nous sommes légions vers l'abattoir, comme des animaux a se diriger comme des moutons vers un monde dénué d'idéaux, asservis comme des esclaves, enchaînés par des actionnaires, a espérer l'épopée révolutionnaire, entassés dans le noir de la cave. #a mon poignet comme dans mon cœur, j'ai tatoué un code barre pour me rappeler ces putains d'heures ou je vivais pour ces connards, emprisonné juste pour quelques sous bien dans la meute entre les loups, #a mon poignet comme dans mon cœur, j'ai tatoué un code barre pour me rappeler ces putains d'heures ou j'engraissais tous ces connards, derrière les barreaux de ma prison, je n'apercevais plus l'horizon je n'entendais plus le chant des oiseaux je me perdais sur les réseaux. #a mon poignet comme dans mon cœur, j'ai tatoué un code barre plus d'identité, malheur! juste un matricule pour des connards. (c) 2016, la fleur sauvage éditions d.verhee. repost 0 published by commenter cet article 6 décembre 2016 2 06 / 12 / décembre / 2016 16:16 du papier et des crayons quel bonheur celui de notre société de voir proliférer l'individualisme ici règne le chacun pour soi, ici règne le chacun chez soi, on s'adonne aux obscurantismes de politiques intéressés. qu'elle est belle notre société abrutie par la consommation, qui nous berce d'illusions, en échange d'une perte d' humanité. § j'ai repris le papier, les crayons pour noircir les pages, et plus mon coeur j'ai repris goût à la révolution pour retrouver un peu de lueur. il n'y a plus ni parent, ni ami juste la chaleur de l'argent, on tweet on partage avec envie liens virtuels entre les gens, on achète tout pour oublier oui, on est rien sans la monnaie. on est devenu écervelé, on a plus la moindre pensée, si ce n'est celle des médias ; qui nous abreuvent, tu vois, de potins en guise d'informations, moi je refuse cette collaboration, qui réduit l'homme et la pensée, a grands coups de tentations, nouvelle forme d'esclavage, où l'on boit leurs immondes breuvages, je ne veux pas vivre les couilles serrées je veux lutter le poing levé. § j'ai repris le papier, les crayons pour noircir les pages, et plus mon coeur j'ai repris goût à la révolution, pour retrouver un peu de lueur. je retrouve mes sensations, les mots affluent comme un torrent, je veux dénoncer ces mout